1. |
Il Est De Retour
02:19
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Je suis de retour, comme le clown tueur de Stephen King
J'entre dans ta tête aussi facilement que dans ton string
Je ne prendrai pas de gant avec toi, mis à part pour le fist-fucking,
Quand j'emplirai tes songes de visions de crimes et de kidnapping
Je suis le Shampignon, la mycose, qui s'incruste dans ta cervelle,
De ton malaise je suis la cause, car c'est ton côté sombre que je révèle
Comportements obscènes, déviances et troubles obsessionnels
Perversions malsaines, démence et pulsions sexuelles
J'emplie de pensés irrationnelles le simple commun des mortels
Je transforme tout un chacun en vrais esprits criminels
Je suis la haine, qui te pousse à commettre l'irréparable
Je suis la peur, qui te donne toujours l'air coupable
La colère, qui rend le moindre tort impardonnable
La folie, qui te fait accomplir des actes effroyables
Je te contrôle, je te possède, je suis cette présence qui t'obsède,
Et si tu cherches de l'aide, sache que mon emprise jamais ne cède
Comme une pathologie sans traitement, un virus sans remède,
Je t'emplie de tourments, quand les pensées sordides se succèdent
Cauchemars et hallucinations, mon terrain de jeu c'est ton crâne,
Et comme dans Faust je veux prestement que tu me vendes ton âme
Tous sans exception, serez sous ma domination
Je suis le Shampignon, de retour, sans concession
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2. |
Safari Humain
04:20
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[Couplet 1] : (Shampignon)
Je t'attrape, te kidnappe, te lâche dans la nature, puis te traque,
Armé d’un couteau de chasse, d’un fusil et d’un arc
Je peux te suivre à la trace tellement tu pues la peur,
Pauvre petit autostoppeur, j'ai un appétit vorace
Je t'entends crier à l'aide mais tu devrais être plus discret,
Car je t'ai dans ma ligne de mire, à peine caché dans mon bosquet
Si de malheureux promeneurs s'interposent entre nous deux,
Ils recevront une flèche dans le coeur, ou entre les deux yeux
Treillis et peinture noire pour mieux me fondre dans le paysage
Caché derrière mon camouflage, je t'observe pleurer de désespoir
Cours, cours, cours, cache-toi dans les fourrés,
Fais moi un peu chercher car j'aime les vrais défis à relever
Je pourrai t'abattre maintenant, mais ce serait bien trop facile,
Moi j'aime prendre mon temps, choisir le moment pour viser dans le mille
Tu peux donc toujours courir, slalomer entre les arbres,
Mais sache que bientôt, tu ne seras plus qu’un cadavre
[Refrain 2x] :
Tu n’es que du gibier, dans mon safari humain,
Je détiens ta vie, dans le creux de ma main
Dans cette chasse à l’homme, tout au fond des bois,
Tu es à moi, tu es ma proie, une chose soumise à mes lois
[Couplet 2] : (Exdeath)
J’ai des têtes empaillées sur mon mur en guise de trophées
Dans une vitrine les ossements de mes autres victimes sont exposés
Sur mon tableau de chasse des dizaines de noms sont recensés,
C'est avec une grande fierté que je l'exhibe lors des diners
J'aime la traque, la poursuite, les cris d'effroi de la proie,
Les longues heures à l'affût à me délecter de ton désarroi
Le doigt sur la gâchette je vise, tu n'as plus d'échappatoire,
Mon sourire sera gravé à jamais dans ton dernier regard
Comme pour les éléphants et leurs défenses en ivoire,
Je revendrai tous tes ossements sur le marché noir
Ainsi que tes organes après t’avoir bien dépecé
Ce qui fait de moi, le plus sadique des braconniers
[Couplet 3] : (Zodd)
Je suis les pistes, traces de sang et odeur de sueur,
J'ai toujours une longueur d'avance car je connais ces bois par coeur
Je suis un prédateur, j'ai besoin de gibier à me mettre sous la dent
Je fais plus de carnage dans les villages que la Bête du Gévaudan
J'ai posé plusieurs pièges à loups pour corser un peu l'affaire,
Si tu n'es pas plus prudent tu risques fort d'y laisser un pied
Tu t'es bien défendu merci mais c'est la fin de ton calvaire,
Ce tas de feuilles mortes marquera l'endroit où je vais t'enterrer
[Refrain 2x] :
Tu n’es que du gibier, dans mon safari humain,
Je détiens ta vie, dans le creux de ma main
Dans cette chasse à l’homme, tout au fond des bois,
Tu es à moi, tu es ma proie, une chose soumise à mes lois
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3. |
Comme Une Ombre
04:37
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COMME UNE OMBRE
[Couplet 1] :
Quand la nuit tombe et que le silence s'installe,
Je me faufile comme une ombre avec un râle bestial
J'ai envie de tuer, de faire un tas de choses très sales
Une prostituée, voilà la cible idéale
Je vois dans son regard un mélange de stupeur et d'horreur
Elle reste l'air hagard, pétrifiée par la terreur
Le couteau fait son travail une fois enfoncé dans son poitrail
Elle s'écroule dans ses entrailles, éventrée comme du bétail
Je me sens soulagé, je prends une grande bouffée d'air
J'admire ce corps saccagé, le sang qui se répand par terre
Plus de bruit, le silence, comme si rien ne s'était passé
Pour moi une immense délivrance, ma victime vient de trépasser
Je ne peux me résoudre à la laisser, j'ai encore besoin de la regarder,
Retarder le moment de rentrer, que cette image soit sauvegardée
Puis avec un dernier soupire, je repars dans la pénombre,
Ne laissant qu'un seul souvenir, celui du passage d'une ombre
[Couplet 2] :
J'y prends goût, je recommence à tuer de nombreuses fois
Seulement pas de chance, la police se met sur mon cas
Mais je m'en fous je n'ai pas d'identité, ils ne me retrouveront pas
Aucune empreinte car j'ai brûlé l'extrémité de mes dix doigts
Une ombre ne peut être attrapée, ils perdent vraiment leur temps
Pour autant j'ai envie de jouer, m'amuser avec les agents
Ainsi je deviens imprévisible, changeant mon mode opératoire
Mais je resterai invisible, tuant de jour sans me faire voir
Puis je me lancerai dans les énigmes, des symboles évoquant l'Enfer
Quelques courriers anonymes, qu'ils confieront à leurs experts
Des cryptogrammes, des messages codés, qui ne les mèneront nulle part
Les imaginer en train de déchiffrer, ça me fait me taper des barres
Spécialistes et mentalistes, profileurs et scientifiques
Une grosse blague quand ils établissent mon profil psychologique
Mais si c'était mon ADN qu'avaient recherché les inspecteurs
Ils l'auraient trouver sans peine dans le cul de leur femme ou de leur soeur
[Couplet 3] :
Capuche et écharpe jusqu'au nez, dans la foule je passe inaperçu
Vous m'avez tous déjà croisé sans vraiment m'avoir vu
Il n'y a pas de secret, il faut se fondre dans la masse
Rester toujours le plus discret comme une ombre qui s'efface
La police est dans l'impasse, elle se révèle inefficace
Et pour ma part jamais je me lasse, d'égorger des petites pouffiasses
Sur mon passage les corps s'amassent, des crimes de plus en plus féroces
Mais toujours la même audace, on dira de moi que je suis atroce
Un cas d'école qu'on étudiera avec des thèses sur son sujet
Un tueur en série qu'on copiera, mais qu'on égalera jamais
Et enfin soudainement je m'arrêterai pendant plus de 10 ans d'affilé
C'est ainsi que je rejoindrai les affaires non classées
[Outro] (scratching) :
Le soir j'erre dans la pénombre, c'est une habitude pour moi,
Je me faufile comme une ombre à la recherche d'une proie
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4. |
Ces Voix Dans Ma Tête
03:52
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5. |
Accouplements Rituels
04:32
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[Couplet 1] :
Sous une voûte en berceau les galeries de la crypte se déploient,
Des nefs de pierre bordées d'arceaux, des chapelles secrètes par endroit
Un sanctuaire souterrain, destiné à un groupe d'initiés
Un lieu de culte clandestin où les désirs cachés sont libérés
Des dizaines de femmes s'y étreignent dans des relations lesbiennes,
Aux pieds d'un autel où règne une divinité d'origine païenne
Empalée sur la verge en or d'une statue à tête de chèvre,
Une prêtresse ondule son corps, du liquide séminal plein les lèvres
Ils communient dans le vice, quand le sex devient prière,
Bénis par tous les orifices, ils sont guidés par les plaisirs de la chair
C'est leur unique doctrine, l'assouvissement de leurs pulsions
Des gays, des trans, des androgynes, ici pas de discrimination
Une marée de corps grouillante, luisante de sueur et de semence,
Entourant une marmite bouillante, autour de laquelle des éphèbes dansent
Son contenu sera partagé puis avalé en guise d'aphrodisiaque,
Pour satisfaire les besoins pervers d'une entité démoniaque
De l'ergot de seigle en mixtion qui les plongent dans un état second,
Visions et hallucinations amplifient leurs sensations
De la sodomie, de la fellation, des doubles pénétrations,
Ils se laissent aller à l'abandon sous les chants et les incantations
[Refrain] :
Des actes sexuels dans des célébrations occultes,
Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte
C'est Sodome et Gomorrhe qui renaissent dans l'obscurité,
Quand les fidèles donnent leur corps, au nom d'étranges divinités
Des actes sexuels dans des célébrations occultes,
Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte
Défier l'Eglise et ses préceptes, en dénigrant la chasteté,
Cette secte et ses adeptes expriment juste leur liberté
[Couplet 2] :
Du sperme et des sécrétions vaginales, coulant sur des faces souriantes,
Dans une immense cuve baptismale des litres de cyprine gluante
Fluides au caractère sacré, véritables liquides eucharistiques,
Substances blanches aux reflets nacrés, renfermant des pouvoirs mystiques
De la magie d'un autre âge, se pratiquant sous forme d'orgie
Par le pouvoir des mages tous les orifices intimes sont élargis
Les partenaires s'échangent et se multiplient dans cette étrange liturgie
Positionnés en levrette face aux effigies dont ils tirent leur énergie
Ils ne sont plus que vulves et verges, anus et bouches, des réceptacles
A la lueur de milliers de cierges au centre d'un immense pentacle
Des coïts frénétiques, submergés par le plaisir les corps convulsent
Des pratiques lubriques, les cris s'amplifient, les yeux se révulsent
Ils entrent dans une transe collective au moment où l'orgasme arrive
Quand sur des êtres aux poses lascives se déversent des éjaculations massives
Se transcender, changer de dimension, le but ultime de ces séances
Leurs Dieux prenant possession, au moment de la jouissance
[Refrain] :
Des actes sexuels dans des célébrations occultes,
Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte
C'est Sodome et Gomorrhe qui renaissent dans l'obscurité,
Quand les fidèles donnent leur corps, au nom d'étranges divinités
Des actes sexuels dans des célébrations occultes,
Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte
Défier l'Eglise et ses préceptes, en dénigrant la chasteté,
Cette secte et ses adeptes expriment juste leur liberté
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6. |
L'Homme De La Montagne
04:03
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L'HOMME DE LA MONTAGNE
[Couplet 1] :
Reclus dans sa cabane, il inspire à tous la terreur,
C'est l'homme de la montagne, la source de toutes les peurs
Un colosse bossu et massif, au visage informe et édenté,
Un salopard très agressif qu'il vaut mieux ne pas fréquenter
Personnage hideux et névrotique, c'est de l'humain une imposture,
Une farce de la génétique, malheureuse erreur de la nature
En fait rejeton de l'inceste, fruit de la consanguinité,
Abandonné, fui comme la peste, un rebus de l'humanité
Rongé par la démence, l'homme de la montagne n'a pas de pitié,
Il tue dans d'atroces souffrances, tous ceux qui osent l'approcher
Alors reste sur tes gardes, ne t'éloigne pas de ton chemin,
Car l'homme de la montagne ne rode jamais loin
[Couplet 2] :
Un putain de monstre infâme, une grotesque créature
Qui mutile sans état d'âme, bâillonne, bastonne et torture
Son passe temps, sa passion, égorger les gens avec les dents
Il sillonne toute la région à la recherche de promeneurs imprudents
Dans le reflet de ses yeux vitreux, ils assistent à leur mort,
Avec un sourire de vieux vicieux il abuse de leur corps
Sale pervers aux fantasmes glauques, ne laissant aucun espoir
On peut entendre ses cris rauques résonner dans la montagne le soir
Démembrement, écartèlement, écorchement ou désossement,
Sont quelques uns des traitements qu'il inflige sans ménagement
Bien plus meurtrier encore que tous les tueurs en série
L'homme de la montagne sème la mort avec la pire des barbaries
[Couplet 3] :
Trop nombreux sont ceux, qui en quête de défis ou de gloire
Veulent jouer les courageux et vont sur son territoire
Ils ne rencontrent que le trépas, disparaissent de la circulation,
Certains lui servent de repas, d'autres encore de décoration
Il garde en souvenir quelques molaires, montés à son cou en collier
Une bague en os à l'annulaire, des crânes sur son mobilier
Se suspendent à sa ceinture des mèches de cheveux entrelacées
Sur son mur de grandes tentures, faites de chair humaine séchée
Tout cela parait beaucoup trop malsain, pour être véridique
Existe-t-il bel et bien ? La question fait polémique
Alors légende urbaine ou réalité, mensonge ou vérité
Si tu veux vérifier, je t'emmène pour une randonnée
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7. |
Juste Un Gars Normal
04:53
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8. |
Reine SM
04:32
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[Couplet 1] :
J’ai sorti la cagoule de cuire, le martinet, le fouet et la cire,
Esclave de mes moindres désirs c’est sous les coups que tu vas jouir
T'es une vraie dépravée, tu aimes le sex ultra-violent,
Je prépare ma paire de gants car ma chérie tu vas trinquer
Mes doigts pénètrent en toi sans forcer tellement tu es trempée,
Lèche moi les pieds, viens me sucer, j'ai une laisse pour te faire ramper
Fais-moi ton regard salace, tu es en train de m'exciter,
Derrière toi je prends place, paré pour te donner la fessée
Tu as la trace de ma main incrustée sur ton arrière-train
Des marques de liens sur tes poignets et chacun de tes seins
Des brûlures à la cire de bougie, lors de dîners aux chandelles
Des morsures aux bords rougis moi c'est ainsi que je te trouve belle
[Refrain] :
Plus je te frappe et t’humilie, plus tu aimes et gémis
Dans la douleur, dans les cris, c’est sous les coups que tu jouis
Amatrice de sex extrême, véritable reine SM
C’est quand je te traite comme une chienne que je sais que tu m’aimes
[Couplet 2] :
Menottes, bâillon et collier, je te transforme en petite soumise,
Mets-toi à quatre pattes, les hanches relevées, cambre-toi que je te sodomise
Apelle-moi maître ou seigneur, sinon je t'attrape par les cheveux,
Je t'attache aux pieds du radiateur, mais au final tout ça n'est qu'un jeu
Insérer en toi toutes sortes d'objets, voilà un délire plein de saveurs
Des plugs géants, des godemichets, il en faut plus pour te faire peur
Avec toi j’assouvis tous mes fantasmes, y compris les plus pervers,
Ton corps envahi de spasmes quand je te stimule au papier de verre
Les jambes tendues en l'air, suspendues par des chaînes en fer
Je fais de toi un jouet obscène, une véritable poupée de chair
Les pratiques les plus extrêmes te font toujours sourire,
Ton visage déformé par le plaisir quand tu finis en femme fontaine
[Refrain] x2 :
Plus je te frappe et t’humilie, plus tu aimes et gémis
Dans la douleur, dans les cris, c’est sous les coups que tu jouis
Amatrice de sex extrême, véritable reine SM
C’est quand je te traite comme une chienne que je sais que tu m’aimes
Un couple fusionnel, épanoui dans la douleur
Qui assume sans peur ses déviances sexuelles
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9. |
Sévices
04:29
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[Couplet 1] : (Shampignon)
Dans mon sous-sol miteux, personne ne t’entendra crier
Prie ton dieu car c’est le seul qui pourra te sauver
Je vais te défigurer, te torturer, te faire pleurer, te faire implorer,
Ton crâne je vais explorer, mes murs de rouge redécorer
Violence gratuite ou vengeance, je n'ai pas vraiment de raison,
Pout ta part tu n'as pas eu de chance que je choisisse ta maison
Je te frappe à coups de marteau, avec la plus féroce des haines
Attrape ta jambe, te brise les os sur une symphonie de Beethoven
Ma caméra filme la scène, je la balancerai sur internet
Je sens que je vais créer le buzz à force de coups de crosse dans ta tête
Je t’accroche des pinces croco, sur les deux testicules,
Une décharge électrique et c’est ton corps qui gesticule
De tes dix doigts il ne t’en reste plus que deux,
Avec une petite cuillère, je vais t’arracher les yeux
[Refrain] :
Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies,
Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit
A coups de poing, à coups de batte, je déstructure ta face
C’est avec un grand plaisir que je te tabasse
Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies,
Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit
Un couteau, un scalpel, et c’est ton sang qui gicle,
Petite pine c’est en punching-ball que je te recycle
[Couplet 2] : (Zodd)
Je te perfuse, te nourris, te soigne, pour te maintenir en vie
Pour continuer à te molester, au-delà de l’infini
Je te fais perdre toute dignité, je te fais ramper par terre
Je t’humilie à force de coups et de jeux pervers
Je te donne de l’espoir, te fais croire que je te libère,
Mais à chaque fois je te rattrape et te rattache à la chaise de ton calvaire
Tu vas prendre cher, pendu par les pieds, les couilles à l’air
Je te taillade de haut en bas, avec des bouts de verre
De l'urine, des excréments, en guise de petit déjeuner,
Tu trouves pas ça appétissant mais je te force à avaler
Du gros sel dans ta chair, du jus de citron sur tes plaies
Tu n'es qu'un objet, un jouet dont je fais ce qu'il me plait
[Refrain] :
Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies,
Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit
A coups de poing, à coups de batte, je déstructure ta face
C’est avec un grand plaisir que je te tabasse
Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies,
Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit
Un couteau, un scalpel, et c’est ton sang qui gicle,
Petite pine c’est en punching-ball que je te recycle
[Couplet 3] : (Exdeath)
L'adrénaline que je t'ai injectée t'empêche de perdre connaissance,
Tu vas connaître la souffrance, le fist-fucking sans vaseline
Ton visage est tuméfié, ce n'est plus qu'un énorme hématome,
Ton teint est livide, tu ressembles à un fantôme
Le visage de travers comme dans un tableau de Picasso,
Une oeuvre de maître avec une barre de fer comme pinceau
Je te drogue et te noie, comme un détenu de Guantanamo,
Je ressens un profond émoi, un plaisir que je n'avoue qu'à demi-mot
[Couplet 4] : (Shampignon)
Vas-y crie, supplie, gémis, subis,
Implores, encore pour que j'épargne ta vie
Je me sers de toi comme d'un cobaye d'expérimentations
J'essaie toute sorte de produits chimiques et note tes réactions,
Je trouve des nouvelles façons de te faire souffrir mon cochon,
Quand tu cries et suffoques, tu deviens une source d'inspiration
Enfin je t’écorche vivant, comme Anna dans Martyrs,
J’arrache ta peau entièrement, avec le plus grand des sourires
[Refrain] :
Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies,
Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit
A coups de poing, à coups de batte, je déstructure ta face
C’est avec un grand plaisir que je te tabasse
Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies,
Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit
Un couteau, un scalpel, et c’est ton sang qui gicle,
Petite pine c’est en punching-ball que je te recycle
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