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Sordide (Preview album)

by Shampignon

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1.
Je suis de retour, comme le clown tueur de Stephen King J'entre dans ta tête aussi facilement que dans ton string Je ne prendrai pas de gant avec toi, mis à part pour le fist-fucking, Quand j'emplirai tes songes de visions de crimes et de kidnapping Je suis le Shampignon, la mycose, qui s'incruste dans ta cervelle, De ton malaise je suis la cause, car c'est ton côté sombre que je révèle Comportements obscènes, déviances et troubles obsessionnels Perversions malsaines, démence et pulsions sexuelles J'emplie de pensés irrationnelles le simple commun des mortels Je transforme tout un chacun en vrais esprits criminels Je suis la haine, qui te pousse à commettre l'irréparable Je suis la peur, qui te donne toujours l'air coupable La colère, qui rend le moindre tort impardonnable La folie, qui te fait accomplir des actes effroyables Je te contrôle, je te possède, je suis cette présence qui t'obsède, Et si tu cherches de l'aide, sache que mon emprise jamais ne cède Comme une pathologie sans traitement, un virus sans remède, Je t'emplie de tourments, quand les pensées sordides se succèdent Cauchemars et hallucinations, mon terrain de jeu c'est ton crâne, Et comme dans Faust je veux prestement que tu me vendes ton âme Tous sans exception, serez sous ma domination Je suis le Shampignon, de retour, sans concession
2.
[Couplet 1] : (Shampignon) Je t'attrape, te kidnappe, te lâche dans la nature, puis te traque, Armé d’un couteau de chasse, d’un fusil et d’un arc Je peux te suivre à la trace tellement tu pues la peur, Pauvre petit autostoppeur, j'ai un appétit vorace Je t'entends crier à l'aide mais tu devrais être plus discret, Car je t'ai dans ma ligne de mire, à peine caché dans mon bosquet Si de malheureux promeneurs s'interposent entre nous deux, Ils recevront une flèche dans le coeur, ou entre les deux yeux Treillis et peinture noire pour mieux me fondre dans le paysage Caché derrière mon camouflage, je t'observe pleurer de désespoir Cours, cours, cours, cache-toi dans les fourrés, Fais moi un peu chercher car j'aime les vrais défis à relever Je pourrai t'abattre maintenant, mais ce serait bien trop facile, Moi j'aime prendre mon temps, choisir le moment pour viser dans le mille Tu peux donc toujours courir, slalomer entre les arbres, Mais sache que bientôt, tu ne seras plus qu’un cadavre [Refrain 2x] : Tu n’es que du gibier, dans mon safari humain, Je détiens ta vie, dans le creux de ma main Dans cette chasse à l’homme, tout au fond des bois, Tu es à moi, tu es ma proie, une chose soumise à mes lois [Couplet 2] : (Exdeath) J’ai des têtes empaillées sur mon mur en guise de trophées Dans une vitrine les ossements de mes autres victimes sont exposés Sur mon tableau de chasse des dizaines de noms sont recensés, C'est avec une grande fierté que je l'exhibe lors des diners J'aime la traque, la poursuite, les cris d'effroi de la proie, Les longues heures à l'affût à me délecter de ton désarroi Le doigt sur la gâchette je vise, tu n'as plus d'échappatoire, Mon sourire sera gravé à jamais dans ton dernier regard Comme pour les éléphants et leurs défenses en ivoire, Je revendrai tous tes ossements sur le marché noir Ainsi que tes organes après t’avoir bien dépecé Ce qui fait de moi, le plus sadique des braconniers [Couplet 3] : (Zodd) Je suis les pistes, traces de sang et odeur de sueur, J'ai toujours une longueur d'avance car je connais ces bois par coeur Je suis un prédateur, j'ai besoin de gibier à me mettre sous la dent Je fais plus de carnage dans les villages que la Bête du Gévaudan J'ai posé plusieurs pièges à loups pour corser un peu l'affaire, Si tu n'es pas plus prudent tu risques fort d'y laisser un pied Tu t'es bien défendu merci mais c'est la fin de ton calvaire, Ce tas de feuilles mortes marquera l'endroit où je vais t'enterrer [Refrain 2x] : Tu n’es que du gibier, dans mon safari humain, Je détiens ta vie, dans le creux de ma main Dans cette chasse à l’homme, tout au fond des bois, Tu es à moi, tu es ma proie, une chose soumise à mes lois
3.
COMME UNE OMBRE [Couplet 1] : Quand la nuit tombe et que le silence s'installe, Je me faufile comme une ombre avec un râle bestial J'ai envie de tuer, de faire un tas de choses très sales Une prostituée, voilà la cible idéale Je vois dans son regard un mélange de stupeur et d'horreur Elle reste l'air hagard, pétrifiée par la terreur Le couteau fait son travail une fois enfoncé dans son poitrail Elle s'écroule dans ses entrailles, éventrée comme du bétail Je me sens soulagé, je prends une grande bouffée d'air J'admire ce corps saccagé, le sang qui se répand par terre Plus de bruit, le silence, comme si rien ne s'était passé Pour moi une immense délivrance, ma victime vient de trépasser Je ne peux me résoudre à la laisser, j'ai encore besoin de la regarder, Retarder le moment de rentrer, que cette image soit sauvegardée Puis avec un dernier soupire, je repars dans la pénombre, Ne laissant qu'un seul souvenir, celui du passage d'une ombre [Couplet 2] : J'y prends goût, je recommence à tuer de nombreuses fois Seulement pas de chance, la police se met sur mon cas Mais je m'en fous je n'ai pas d'identité, ils ne me retrouveront pas Aucune empreinte car j'ai brûlé l'extrémité de mes dix doigts Une ombre ne peut être attrapée, ils perdent vraiment leur temps Pour autant j'ai envie de jouer, m'amuser avec les agents Ainsi je deviens imprévisible, changeant mon mode opératoire Mais je resterai invisible, tuant de jour sans me faire voir Puis je me lancerai dans les énigmes, des symboles évoquant l'Enfer Quelques courriers anonymes, qu'ils confieront à leurs experts Des cryptogrammes, des messages codés, qui ne les mèneront nulle part Les imaginer en train de déchiffrer, ça me fait me taper des barres Spécialistes et mentalistes, profileurs et scientifiques Une grosse blague quand ils établissent mon profil psychologique Mais si c'était mon ADN qu'avaient recherché les inspecteurs Ils l'auraient trouver sans peine dans le cul de leur femme ou de leur soeur [Couplet 3] : Capuche et écharpe jusqu'au nez, dans la foule je passe inaperçu Vous m'avez tous déjà croisé sans vraiment m'avoir vu Il n'y a pas de secret, il faut se fondre dans la masse Rester toujours le plus discret comme une ombre qui s'efface La police est dans l'impasse, elle se révèle inefficace Et pour ma part jamais je me lasse, d'égorger des petites pouffiasses Sur mon passage les corps s'amassent, des crimes de plus en plus féroces Mais toujours la même audace, on dira de moi que je suis atroce Un cas d'école qu'on étudiera avec des thèses sur son sujet Un tueur en série qu'on copiera, mais qu'on égalera jamais Et enfin soudainement je m'arrêterai pendant plus de 10 ans d'affilé C'est ainsi que je rejoindrai les affaires non classées [Outro] (scratching) : Le soir j'erre dans la pénombre, c'est une habitude pour moi, Je me faufile comme une ombre à la recherche d'une proie
4.
5.
[Couplet 1] : Sous une voûte en berceau les galeries de la crypte se déploient, Des nefs de pierre bordées d'arceaux, des chapelles secrètes par endroit Un sanctuaire souterrain, destiné à un groupe d'initiés Un lieu de culte clandestin où les désirs cachés sont libérés Des dizaines de femmes s'y étreignent dans des relations lesbiennes, Aux pieds d'un autel où règne une divinité d'origine païenne Empalée sur la verge en or d'une statue à tête de chèvre, Une prêtresse ondule son corps, du liquide séminal plein les lèvres Ils communient dans le vice, quand le sex devient prière, Bénis par tous les orifices, ils sont guidés par les plaisirs de la chair C'est leur unique doctrine, l'assouvissement de leurs pulsions Des gays, des trans, des androgynes, ici pas de discrimination Une marée de corps grouillante, luisante de sueur et de semence, Entourant une marmite bouillante, autour de laquelle des éphèbes dansent Son contenu sera partagé puis avalé en guise d'aphrodisiaque, Pour satisfaire les besoins pervers d'une entité démoniaque De l'ergot de seigle en mixtion qui les plongent dans un état second, Visions et hallucinations amplifient leurs sensations De la sodomie, de la fellation, des doubles pénétrations, Ils se laissent aller à l'abandon sous les chants et les incantations [Refrain] : Des actes sexuels dans des célébrations occultes, Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte C'est Sodome et Gomorrhe qui renaissent dans l'obscurité, Quand les fidèles donnent leur corps, au nom d'étranges divinités Des actes sexuels dans des célébrations occultes, Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte Défier l'Eglise et ses préceptes, en dénigrant la chasteté, Cette secte et ses adeptes expriment juste leur liberté [Couplet 2] : Du sperme et des sécrétions vaginales, coulant sur des faces souriantes, Dans une immense cuve baptismale des litres de cyprine gluante Fluides au caractère sacré, véritables liquides eucharistiques, Substances blanches aux reflets nacrés, renfermant des pouvoirs mystiques De la magie d'un autre âge, se pratiquant sous forme d'orgie Par le pouvoir des mages tous les orifices intimes sont élargis Les partenaires s'échangent et se multiplient dans cette étrange liturgie Positionnés en levrette face aux effigies dont ils tirent leur énergie Ils ne sont plus que vulves et verges, anus et bouches, des réceptacles A la lueur de milliers de cierges au centre d'un immense pentacle Des coïts frénétiques, submergés par le plaisir les corps convulsent Des pratiques lubriques, les cris s'amplifient, les yeux se révulsent Ils entrent dans une transe collective au moment où l'orgasme arrive Quand sur des êtres aux poses lascives se déversent des éjaculations massives Se transcender, changer de dimension, le but ultime de ces séances Leurs Dieux prenant possession, au moment de la jouissance [Refrain] : Des actes sexuels dans des célébrations occultes, Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte C'est Sodome et Gomorrhe qui renaissent dans l'obscurité, Quand les fidèles donnent leur corps, au nom d'étranges divinités Des actes sexuels dans des célébrations occultes, Des accouplements rituels lors de l'expression de leur culte Défier l'Eglise et ses préceptes, en dénigrant la chasteté, Cette secte et ses adeptes expriment juste leur liberté
6.
L'HOMME DE LA MONTAGNE [Couplet 1] : Reclus dans sa cabane, il inspire à tous la terreur, C'est l'homme de la montagne, la source de toutes les peurs Un colosse bossu et massif, au visage informe et édenté, Un salopard très agressif qu'il vaut mieux ne pas fréquenter Personnage hideux et névrotique, c'est de l'humain une imposture, Une farce de la génétique, malheureuse erreur de la nature En fait rejeton de l'inceste, fruit de la consanguinité, Abandonné, fui comme la peste, un rebus de l'humanité Rongé par la démence, l'homme de la montagne n'a pas de pitié, Il tue dans d'atroces souffrances, tous ceux qui osent l'approcher Alors reste sur tes gardes, ne t'éloigne pas de ton chemin, Car l'homme de la montagne ne rode jamais loin [Couplet 2] : Un putain de monstre infâme, une grotesque créature Qui mutile sans état d'âme, bâillonne, bastonne et torture Son passe temps, sa passion, égorger les gens avec les dents Il sillonne toute la région à la recherche de promeneurs imprudents Dans le reflet de ses yeux vitreux, ils assistent à leur mort, Avec un sourire de vieux vicieux il abuse de leur corps Sale pervers aux fantasmes glauques, ne laissant aucun espoir On peut entendre ses cris rauques résonner dans la montagne le soir Démembrement, écartèlement, écorchement ou désossement, Sont quelques uns des traitements qu'il inflige sans ménagement Bien plus meurtrier encore que tous les tueurs en série L'homme de la montagne sème la mort avec la pire des barbaries [Couplet 3] : Trop nombreux sont ceux, qui en quête de défis ou de gloire Veulent jouer les courageux et vont sur son territoire Ils ne rencontrent que le trépas, disparaissent de la circulation, Certains lui servent de repas, d'autres encore de décoration Il garde en souvenir quelques molaires, montés à son cou en collier Une bague en os à l'annulaire, des crânes sur son mobilier Se suspendent à sa ceinture des mèches de cheveux entrelacées Sur son mur de grandes tentures, faites de chair humaine séchée Tout cela parait beaucoup trop malsain, pour être véridique Existe-t-il bel et bien ? La question fait polémique Alors légende urbaine ou réalité, mensonge ou vérité Si tu veux vérifier, je t'emmène pour une randonnée
7.
8.
Reine SM 04:32
[Couplet 1] : J’ai sorti la cagoule de cuire, le martinet, le fouet et la cire, Esclave de mes moindres désirs c’est sous les coups que tu vas jouir T'es une vraie dépravée, tu aimes le sex ultra-violent, Je prépare ma paire de gants car ma chérie tu vas trinquer Mes doigts pénètrent en toi sans forcer tellement tu es trempée, Lèche moi les pieds, viens me sucer, j'ai une laisse pour te faire ramper Fais-moi ton regard salace, tu es en train de m'exciter, Derrière toi je prends place, paré pour te donner la fessée Tu as la trace de ma main incrustée sur ton arrière-train Des marques de liens sur tes poignets et chacun de tes seins Des brûlures à la cire de bougie, lors de dîners aux chandelles Des morsures aux bords rougis moi c'est ainsi que je te trouve belle [Refrain] : Plus je te frappe et t’humilie, plus tu aimes et gémis Dans la douleur, dans les cris, c’est sous les coups que tu jouis Amatrice de sex extrême, véritable reine SM C’est quand je te traite comme une chienne que je sais que tu m’aimes [Couplet 2] : Menottes, bâillon et collier, je te transforme en petite soumise, Mets-toi à quatre pattes, les hanches relevées, cambre-toi que je te sodomise Apelle-moi maître ou seigneur, sinon je t'attrape par les cheveux, Je t'attache aux pieds du radiateur, mais au final tout ça n'est qu'un jeu Insérer en toi toutes sortes d'objets, voilà un délire plein de saveurs Des plugs géants, des godemichets, il en faut plus pour te faire peur Avec toi j’assouvis tous mes fantasmes, y compris les plus pervers, Ton corps envahi de spasmes quand je te stimule au papier de verre Les jambes tendues en l'air, suspendues par des chaînes en fer Je fais de toi un jouet obscène, une véritable poupée de chair Les pratiques les plus extrêmes te font toujours sourire, Ton visage déformé par le plaisir quand tu finis en femme fontaine [Refrain] x2 : Plus je te frappe et t’humilie, plus tu aimes et gémis Dans la douleur, dans les cris, c’est sous les coups que tu jouis Amatrice de sex extrême, véritable reine SM C’est quand je te traite comme une chienne que je sais que tu m’aimes Un couple fusionnel, épanoui dans la douleur Qui assume sans peur ses déviances sexuelles
9.
Sévices 04:29
[Couplet 1] : (Shampignon) Dans mon sous-sol miteux, personne ne t’entendra crier Prie ton dieu car c’est le seul qui pourra te sauver Je vais te défigurer, te torturer, te faire pleurer, te faire implorer, Ton crâne je vais explorer, mes murs de rouge redécorer Violence gratuite ou vengeance, je n'ai pas vraiment de raison, Pout ta part tu n'as pas eu de chance que je choisisse ta maison Je te frappe à coups de marteau, avec la plus féroce des haines Attrape ta jambe, te brise les os sur une symphonie de Beethoven Ma caméra filme la scène, je la balancerai sur internet Je sens que je vais créer le buzz à force de coups de crosse dans ta tête Je t’accroche des pinces croco, sur les deux testicules, Une décharge électrique et c’est ton corps qui gesticule De tes dix doigts il ne t’en reste plus que deux, Avec une petite cuillère, je vais t’arracher les yeux [Refrain] : Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies, Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit A coups de poing, à coups de batte, je déstructure ta face C’est avec un grand plaisir que je te tabasse Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies, Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit Un couteau, un scalpel, et c’est ton sang qui gicle, Petite pine c’est en punching-ball que je te recycle [Couplet 2] : (Zodd) Je te perfuse, te nourris, te soigne, pour te maintenir en vie Pour continuer à te molester, au-delà de l’infini Je te fais perdre toute dignité, je te fais ramper par terre Je t’humilie à force de coups et de jeux pervers Je te donne de l’espoir, te fais croire que je te libère, Mais à chaque fois je te rattrape et te rattache à la chaise de ton calvaire Tu vas prendre cher, pendu par les pieds, les couilles à l’air Je te taillade de haut en bas, avec des bouts de verre De l'urine, des excréments, en guise de petit déjeuner, Tu trouves pas ça appétissant mais je te force à avaler Du gros sel dans ta chair, du jus de citron sur tes plaies Tu n'es qu'un objet, un jouet dont je fais ce qu'il me plait [Refrain] : Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies, Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit A coups de poing, à coups de batte, je déstructure ta face C’est avec un grand plaisir que je te tabasse Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies, Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit Un couteau, un scalpel, et c’est ton sang qui gicle, Petite pine c’est en punching-ball que je te recycle [Couplet 3] : (Exdeath) L'adrénaline que je t'ai injectée t'empêche de perdre connaissance, Tu vas connaître la souffrance, le fist-fucking sans vaseline Ton visage est tuméfié, ce n'est plus qu'un énorme hématome, Ton teint est livide, tu ressembles à un fantôme Le visage de travers comme dans un tableau de Picasso, Une oeuvre de maître avec une barre de fer comme pinceau Je te drogue et te noie, comme un détenu de Guantanamo, Je ressens un profond émoi, un plaisir que je n'avoue qu'à demi-mot [Couplet 4] : (Shampignon) Vas-y crie, supplie, gémis, subis, Implores, encore pour que j'épargne ta vie Je me sers de toi comme d'un cobaye d'expérimentations J'essaie toute sorte de produits chimiques et note tes réactions, Je trouve des nouvelles façons de te faire souffrir mon cochon, Quand tu cries et suffoques, tu deviens une source d'inspiration Enfin je t’écorche vivant, comme Anna dans Martyrs, J’arrache ta peau entièrement, avec le plus grand des sourires [Refrain] : Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies, Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit A coups de poing, à coups de batte, je déstructure ta face C’est avec un grand plaisir que je te tabasse Victime de mes sévices, tu pleures et tu supplies, Tu vas subir ma torture, jusqu’au bout de la nuit Un couteau, un scalpel, et c’est ton sang qui gicle, Petite pine c’est en punching-ball que je te recycle

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This a preview of my new album "Sordide". More tracks will be available soon...

Preview de mon nouvel album "Sordide". Plus de morceaux seront disponibles prochainement...

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released November 21, 2018

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Shampignon Courtry, France

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