1. |
Genèse (Intro)
02:03
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Genèse (INTRO) :
Je suis le Shampignon...
Le champignon nait de la pourriture et prolifère sur des organismes morts...
Il est un charognard ou un parasite.
Fantasmagorique quand il est hallucinogène, mortel quand il est vénéneux ou atomique...
C'est ce que je suis, en plus élaboré
Je pousse dans vos boîtes crâniennes, comme une sorte de mycose cérébrale.
Je me nourris de vos peurs, de votre haine, de vos perversions, mêmes celles enfouies très profond
A chaque morceau, je me délecte un peu plus de vos déviances...
Je suis le Shampignon...
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2. |
La Nuit J'Ai Des Visions
03:19
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LA NUIT J’AI DES VISIONS :
[Refrain x2] :
La nuit j’ai des visions
De meurtres, de viols, de mutilations
Je rêve que je suis en suspension
En dessous de moi ce monde qui brûle, qui fond
[Couplet 1] :
La nuit quand je ferme les yeux, j’ai des visions,
Mon esprit est envahi d’horribles pulsions,
Des images toujours plus violentes envahissent mes rêves et mes nuits,
Je vois des morts, des boyaux des dissections de ton anatomie,
La nuit quand je ferme les yeux, mon esprit se laisse aller,
Je vois des choses auxquelles je n’aurais jamais pensées,
J’oublie toute convention, avec comme seule envie la destruction,
Je vois des cadavres, du sang et toutes sortes de mutilations,
Je rêve d’autopsies, avec ta femme sur la table d’opération,
Je rêve de tortures, de cimetières, de corps en décomposition
Je rêve de viol, je rêve que je brûle ta maison
La nuit j’ai des visions,
Et le matin quand je me réveille, je suis en pleine érection !
[Refrain x4] :
La nuit j’ai des visions
De meurtres, de viols, de mutilations
Je rêve que je suis en suspension
En dessous de moi ce monde qui brûle, qui fond
[Couplet 2] :
La nuit je perds le contrôle de ma conscience
Mes songes sont emplis d’une certaine violence,
La nuit quand je rêve, je laisse libre cour à mes fantasmes,
Des visions de crimes me traversent, me donnent des spasmes,
Secouent mon corps, je me réveille en sueur
La nuit je retrouve tous mes instincts de tueur
Je m’imagine dans toutes sortes de rôles déjantés,
Du cannibale au nécrophile, en passant pas le boucher,
Je rêve de scénarios tous très morbides,
Je rêve que je tombe dans le vide,
Des fantasmes suicidaires remplissent mon mental,
Faisant craquer chacune de mes cervicales,
Des fantasmes meurtriers remplissent mes songes,
Me torturent l’esprit et lentement me rongent,
La nuit je rêve que je tue des inconnus
Je rêve que je traîne leur corps le long des rues
Je rêve que je noie des gens dans des urinoirs publiques,
Que je les torture pour assouvir mes délires psychotiques,
La nuit j’ai des visions qui viennent sans cesse me torturer,
La nuit, j’oublie tout et m’abandonne à ma vraie personnalité…
[Refrain x8] :
La nuit j’ai des visions
De meurtres, de viols, de mutilations
Je rêve que je suis en suspension
En dessous de moi ce monde qui brûle, qui fond
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3. |
Histoire de Cannibales
05:22
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HISTOIRE DE CANNIBALES :
[Intro]: (Extrait de Old Boy)
Personne ne retrouvera jamais ton corps de pourri
Ni tes ongles, ni tes cheveux,
Personne au monde ne pourra retrouver la moindre trace de toi,
J’avalerai avec soin chaque petit morceau de ton cadavre
[Couplet 1] :
Les pelles remuent la terre,
Des effluves mortuaires flottent dans l’air
J’ai préparé ma pelle et mon scalpel,
Je suis là, pour visiter ta stèle
Je vais abuser de ton cadavre sans retenu,
Puis manger ses restes pour qu’il ne soit pas reconnu
Alors que la nuit semble tranquille,
Etalés sur une terre devenue stérile,
Des dizaines de corps en décomposition
Se préparent à subir toutes sortes de perversions
Cette odeur de pourriture et de putréfaction
Me donne subitement des érections,
Les corps pourris, les os ressortis et la chair flétrie
Me font penser à des cochonneries dont je suis le premier surpris
Je sens renaître en moi ma libido,
Lorsque je vois ces cadavres vidés de leurs organes génitaux,
A l’intérieur il n’y a plus rien,
Je peux y mettre ma main et ainsi aller très loin
Le principal avantage des macchabées,
C’est que jamais ils n’iront te tromper
Et t’as pas besoin de leur demander
Si tu veux les lécher ou les enculer
La morgue est mon paradis
Lorsque j’atterris en pleine autopsie,
Je vois ce corps sur la table étalé,
Alors que ses boyaux sont pesés
Cette fille est morte à peine à sa majorité
Elle n’a pas encore pu goûter au plaisir de se faire déflorer,
Si froid est ce corps,
Si belle est la mort,
Le bloc opératoire est plongé dans le noir,
Il n’y a plus personne dans les couloirs,
Je vais pouvoir m’exorciser de ce fantasme fiévreux,
Je vais pouvoir profiter de ce cadavre délicieux…
[Refrain x2] : (Extrait de Old Boy)
Personne ne retrouvera jamais ton corps de pourri
Ni tes ongles, ni tes cheveux,
Personne au monde ne pourra retrouver la moindre trace de toi, Ah !
J’avalerai avec soin chaque petit morceau de ton cadavre
[Couplet 2] :
Je suis comme Hannibal le Cannibale je bouffe ton cerveau
A moi seul je te fais un remake puissance 10 du « Silence des Agneaux »
J’ai tes boyaux dans mon assiette,
Ton œil est sur ma fourchette,
Ta pupille craque sous ma dent, je m’abreuve de ton sang,
Je le bois goulûment après t’avoir saigné délicatement,
J’ai retiré toute ta peau avec un simple couteau,
Je l’ai faite griller puis je l’ai savouré,
Dans tes entrailles j’ai fouillé,
Puis laissé ton cadavre sur le plancher,
Je t’ai déchiqueté, saigné, cuisiné et mangé
La chair humaine est si tendre et frétillante,
Son odeur m’enchante et me hante,
Cette odeur déroutante de poumon grillé
D’estomac qu’on laisse mariner dans un bouillon épicé,
Le cannibalisme a envahi chacune de mes cellules, chacune de mes molécules,
Dans mon frigo il y a un bocal avec une vésicule
Je te charcute comme un porc
Et mange avec soin chaque petit morceau de ton corps,
Tu es mort, mais au lieu d’aller au cimetière,
Tu te retrouves dans mon frigidaire
Parfois les gens je les mange vivants,
Leur regard plein de douleur,
Quand je les pénètre comme du beurre,
Quand ma lame tranche leur corps d’enfoirés
Ils se mettent à pleurer et à suffoquer
Et ils regardent avec leurs yeux vides
Leurs tripes sortir de leur bide,
Je peux ainsi les bouffer et en même temps les voire agoniser,
Ca me fait bander, un jour il faudrait filmer !
[Refrain x2] : (Extrait de Old Boy)
Personne ne retrouvera jamais ton corps de pourri
Ni tes ongles, ni tes cheveux,
Personne au monde ne pourra retrouver la moindre trace de toi, Ah !
J’avalerai avec soin chaque petit morceau de ton cadavre
[Couplet 3] :
Je mange des gens, je bois leur sang,
Je suis un porc, je viole des morts !
Des gens m’ont dit d’aller me faire soigner, d’aller voir un psy,
Mais je préfère continuer à me branler sur la rubrique « nécrologie »
Quand je me sens bien,
Je m’amuse à jouer les nécromanciens,
Je réveille des morts,
Pour les manger encore et encore
Chez moi c’est le carnage,
Je suis un anthropophage,
Le best avec tes restes,
Dans une vie antérieure j’étais un boucher,
Derrière mon établi j’étais placé, sous mes yeux de la viande étalée,
Des blocs entiers de chair fraîche à manger,
J’imaginais que c’était de la viande humaine, je fantasmais à cette idée,
Aujourd’hui encore j’ai des visions,
Sans cesse j’ai des pulsions,
Je me sens obligé de fouiller les cimetières
Pour calmer mes ardeurs meurtrières,
Une fois qu’un cadavre est déterré,
Je n’ai plus qu’à abuser de ce corps desséché,
Puis à le faire chauffer et à le manger
On me dit souvent que je suis fou,
Je crois que je provoque le dégoût,
Je finis par me demander si ce n’est pas la vérité,
Je finis par me demander si je ne suis pas un peu dérangé…
[Refrain x2] :
Personne ne retrouvera jamais ton corps de pourri
Ni tes ongles, ni tes cheveux,
Personne au monde ne pourra retrouver la moindre trace de toi, Ah !
J’avalerai avec soin chaque petit morceau de ton cadavre
[Outro] : (Extrait de Old Boy)
Personne ne retrouvera jamais ton corps de pourri
Ni tes ongles, ni tes cheveux,
Personne au monde ne pourra retrouver la moindre trace de toi,
J’avalerai avec soin chaque petit morceau de ton cadavre
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4. |
Vampire
03:53
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VAMPIRE :
[Couplet 1]:
Motherfucker you were my postman,
Now you get your head open,
I see your brain,
The blood’s flowing from your vein
That’s my life,
I kill you with a knife
I drink your blood, motherfucker
While your tripe fall on the floor,
I’m not a mental patient, no !
I’m just gonna drink your blood, hoe !
When I was six, I saw bloodstains on the snow,
Red on white, it was beautiful, like a dead crow
Murders in my dreams, murders in my head
When I sleep, I see people who are dead
I’m gonna kill your friends and all your family
Sacrifice, murders, mutilation, that’s my reality
Fuck you! You bleed, you bleed, bleed, bleed !
You bleed, you bleed, you bleed, bleed, bleed !!
[Refrain x2]:
I drink your blood, motherfucker
I eat your brain, and eat your heart
I drink your blood, motherfucker
I drink…drink your blood like a vampire
[Couplet 2]:
I eat your brain
I suck your veins
I lick your liver
Your stomach, motherfucker
I drink your blood in a gold cup
Everybody knows my mind is mixed-up
Now you’re dead
I’m seeing red
I got blood in my mind
I drink your blood like wine
I don’t give a fuck if you’re sick
Your blood on my knife I want lick,
I know I’m a killer
That’s what makes me feel better
I need blood into my throat
This nectar so hot
Intestines, artery, guts, flesh and bones
Your body is ravaged by mutilations
You can scream, you can cry,
You can pray, but you will die
You can scream, you can cry,
You can pray, but you will die !!
[Refrain x2]:
I drink your blood, motherfucker
I eat your brain, and eat your heart
I drink your blood, motherfucker
I drink…drink your blood like a vampire
[Couplet 3]:
Enculé je bois ton sang,
Il me descend dans la gorge, lentement
Mes lèvres palpitent violemment
Je suis terriblement impatient
T’étais mon facteur
Je t’ai arraché le cœur,
Tu es étalé sur mon palier en train de te vider
Je t’entends agoniser, je suis excité
Le spectacle à l’état pur, c’est le drame du sang
Le voir couler et se répandre est pour moi l’ultime divertissement
Quand j’en aurai assez de faire couler et de boire le tien,
Par mutilation ou par suicide, je me délecterai du mien.
Je vais tout boire en une gorgée
Tout jusqu’à me faire exploser
Je vois ton cadavre au fond de mon appartement,
Il se vide, remplissant mes différents récipients,
Je vais tout avaler goulûment,
Je me sens frissonner brusquement,
Je bois ton sang…comme un vampire…
Je bois ton sang, comme un vampire (x4)
Je bois ton sang…Je bois ton sang !!
[Refrain x2]:
I drink your blood, motherfucker
I eat your brain, and eat your heart
I drink your blood, motherfucker
I drink…drink your blood like a vampire
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5. |
Folie
05:01
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FOLIE :
[Intro] :
Folie…
Folie…
Folie…
Folie
[Couplet 1]:
Chaque jour pour moi est un supplice,
Mon corps est envahi par le vice,
Paranoïaque, dépressif, psychotique,
Tant d’insanité dans mon esprit antipathique
Je n’ai confiance en personne, même pas en moi-même,
Je n’aime personne car personne ne m’aime,
Je suis seul dans ce monde morbide,
Ma seule compagnie, c’est le vide,
J’ai une sensation étrange au niveau de mon cervelet,
J’aimerais bien ouvrir mon crâne pour voir ce que j’ai
Je me sens à bout,
Je crois que je suis devenu fou,
La folie est visiblement ma seule amie,
Ma seule compagnie, qui me pousse à tuer la nuit,
Qui me pousse à ôter la vie,
Qui me pousse à me délecter de tes cris
Tout en ce monde est inutile et dérisoire
A commencer par ma vie et tout ce qu’on m’a poussé a croire…
[Couplet 2] :
Ils savent tout, Ils sont partout,
Ils dirigent nos vies de bout en bout
Ils nous contrôlent jour et nuit
Je passe ma vie à tenter de leur fausser compagnie,
Mais c’est impossible, ils savent tout à l’avance,
Ils sont là depuis le jour de ma naissance,
Ils contrôlent mes faits et gestes et même ma conscience,
Anéantissant progressivement tout risque de désobéissance
Je suis paranoïaque à en mourir
Et jour après jour ça empire,
C’est le monde qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui :
Une âme en perdition rongée par la folie,
C’est ma réalité :
Je suis dérangé
Avant je ne l’étais pas, j’étais normal,
Ce monde a perverti mon âme, mon mental,
Dans cette jungle de béton et d’acier,
Il n’y a de place que pour les dingues et les dégénérés
Je ne vois rien quand je me regarde dans la glace,
Mon reflet n’apparaît pas, il s’efface,
En réalité ce que je vois,
C’est bien moi,
Je ne suis qu’un corps sans reflet,
Une ombre sans intérêt
[Couplet 3] :
Le soir quand je m’endors,
Je pense à la Mort,
J’aimerais qu’elle soit là
Et qu’elle m’emporte dans ces bras,
Parfois je préfèrerais mourir,
Parfois je voudrais en finir,
J’ai perdu tout estime,
Ce monde me déprime
Mais même si pour moi tuer est une solution,
Je pense que le suicide sera ma vraie libération,
Je devrais me jeter du haut de ce balcon
Ou me tirer une balle au milieu du front,
Je suis dépressif,
Tout en moi est négatif,
Je ne suis qu’une coquille vide et sans fonction,
Alors je dois tuer pour essayer de me prouver que non,
J’ai besoin de voir et de toucher du sang,
C’est ce qui me fait dire que j’existe vraiment,
Avant je me tranchais les veines avec un cutter,
J’avais besoin de sentir la douleur,
Avant je croyais que je n’étais que de l’air
Enfermé dans une prison de chair,
J’ai mis trop de temps à réaliser que l’esprit était l’essence même de chacun,
Car il est trop tard, la folie a complètement perverti le mien…
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6. |
Voisines
05:12
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VOISINES :
[Refrain]:
Tout le monde le sait, mes voisines sont des traînées
Elles ont un appétit que rien ne peut freiner
Elles ne pensent qu'au sex, de l'hiver à l'automne,
Rien à faire mes voisines sont de véritables cochonnes
[Couplet 1]:
Ma première voisine est une grosse chienne,
Les deux tétons percés reliés par une chaîne
Chaque jour elle a de la visite,
Chaque jour elle reçoit une nouvelle bite
De ma fenêtre je peux la regarder,
Je la vois sur son lit, menottée
Elle se fait attacher, fouetter, humilier,
Même de chez moi je l’entends crier
Quand elle se fait pénétrer par différents objets
Elle est menottée, les jambes écartées,
Les deux trous dilatés
Ce qu’elle aime c’est la douleur,
Faire des trucs à plusieurs,
Se faire ramoner de tous les côtés,
Avoir tous les trous comblés,
Elle ameute tout le quartier,
Lorsqu’elle crie quand elle jouit
C‘est une salope en latex,
Une bête assoiffée de sex
Ma voisine est une grosse chienne
Et elle jouit quand elle saigne !
[Refrain x2]:
Tout le monde le sait, mes voisines sont des traînées
Elles ont un appétit que rien ne peut freiner
Elles ne pensent qu'au sex, de l'hiver à l'automne,
Rien à faire mes voisines sont de véritables cochonnes
[Couplet 2]:
Ma seconde voisine est une petite jeune de vingt ans,
Blonde, les yeux bleus, un véritable diamant,
Si mignonne, si pure,
Un chef d’œuvre de la nature,
Un véritable régale pour les pupilles,
Mais elle n’aime que les filles,
C’est une petite lesbienne intéressée que par les plaisirs féminins,
Qui ne veut de contact buccal qu’avec un vagin
Je l’observe souvent avec mes jumelles,
En particulier lorsque sa copine vient chez elle
J’assiste alors à une cascade de plaisirs saphiques
Digne des plus grands films pornographiques,
Je les vois se caresser, s’embrasser,
Lécher leur belle peau bronzée,
Elles s’embrassent sans fin,
Leur langue glisse sur leurs seins,
Puis descendent vers leur vagin,
Elles explorent un à un de leurs désirs tous les chemins,
A force de caresses et de coups de langue intenses,
Elles finissent par s’abandonner ensemble à une extrême jouissance…
[Refrain]:
Tout le monde le sait, mes voisines sont des traînées
Elles ont un appétit que rien ne peut freiner
Elles ne pensent qu'au sex, de l'hiver à l'automne,
Rien à faire mes voisines sont de véritables cochonnes
[Couplet 3]:
Ma troisième voisine est une célibataire
Adepte des plaisirs solitaires,
Je la vois souvent dans son canapé,
Allongée en train de se déshabiller, puis de se caresser
Elle se frotte violemment
En poussant des petits gémissements
Elle enfonce un doigt,
Puis deux, puis trois,
Elle est complètement trempée
Ses doigts rentrent sans même forcer,
Elle les retire, les lèche goulûment,
Puis les renfonce délicatement dans son vagin dégoulinant rasé à blanc,
Mais elle ne s’arrête jamais là,
Elle va toujours plus loin que ça,
En un instant, elle change radicalement,
Elle se transforme alors en bête assoiffée de pénétration,
Elle enchaîne ainsi les intromissions d’objets de différentes dimensions
Allant de simples godes aux énormes plugs en passant par le poing,
Que ce soit dans l’anus ou dans le vagin, avec une ou deux mains,
Elle se masturbe comme ça du soir au matin,
Elle se masturbe sans interruption jusqu’au lendemain…
[Refrain x2]:
Tout le monde le sait, mes voisines sont des traînées
Elles ont un appétit que rien ne peut freiner
Elles ne pensent qu'au sex, de l'hiver à l'automne,
Rien à faire mes voisines sont de véritables cochonnes
[Couplet 4]:
Le reste de mon voisinage est échangiste et partouzeur,
Adepte du gang bang et des trucs à plusieurs,
Mes autres voisines ne sont donc pas tristes non plus,
Accros de la bite, le feu au cul
Ce qu’elles aiment c’est être secouées de partout
Avec au moins une bite dans chaque trou
A une vingtaine dans un salon,
Elles vont de multiples fellations
A des doubles et triples pénétrations,
A de longues dilatations vaginales et anales
Qui se terminent par d’abondantes éjaculations faciales,
J’ai un voisinage très spécial,
Des chiennes assoiffées de bites à la limite cannibales
Qui ont à la place du cul un véritable canal,
Ou des salopes qui prennent plaisir en ayant mal,
Des nymphomanes insatiables,
Mes voisines ont tout simplement une sexualité un peu anormale…
[Refrain x2]:
Tout le monde le sait, mes voisines sont des traînées
Elles ont un appétit que rien ne peut freiner
Elles ne pensent qu'au sex, de l'hiver à l'automne,
Rien à faire mes voisines sont de véritables cochonnes
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7. |
Symphonie De La Nuit
03:31
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SYMPHONIE DE LA NUIT :
[Refrain]:
C'est une macabre symphonie
Qui vient rompre le silence de la nuit
Quand tes cris s'imprègnent dans mon esprit
Et forment une étrange polyphonie
[Couplet 1]:
Je ne suis pas fou, je n’ai pas de problème de cerveau
Je suis juste sadique plus que tout, peut être morbide un peu trop
Je me sens fondre intérieurement
Brûlant comme de l’encens, lentement
Je ne contrôle plus mes sens
Je perds conscience
Ma seule délivrance
C’est l’élégance de la sentence
Je sens mes doigts qui palpitent
Je sens frémir mes orbites,
Mes pupilles se dilater
Mes veines semblent éclater
Des visions d’autodestruction me traversent tel un frisson
Mon sang est en ébullition
Une goutte coule le long de mon front
Une puissante chaleur envahit mon corps
La peur de partir encore
Je ne suis pas assez fort
Pour lutter contre le sort
Des fantasmes cannibales remplissent mon mental
Faisant craquer chacune de mes cervicales
Me respiration s’accélère
Ca s’agite dans mes artères
Mon esprit semble me quitter
Je ne suis plus maître de mes pensées
C’est à ce moment là qu’un malheur peut arriver
Mon esprit semble me quitter
Je ne suis plus maître de mes pensées
C’est à ce moment là qu’un malheur peut arriver
[Refrain]:
C'est une macabre symphonie
Qui vient rompre le silence de la nuit
Quand tes cris s'imprègnent dans mon esprit
Et forment une étrange polyphonie
[Couplet 2]:
Des flash-back viennent me torturer
Des souvenirs de ma nuit passée, oubliés,
Lorsque je me suis abandonné
A ma deuxième personnalité
Des flashs violents
De ma victime hurlant
Du sang, sans cesse dans mes pensées
J’ai trouvé un être à torturer
Mon pauvre t’es mal tombé
Car dans la nuit nul ne t’entend crier !
Tu peux tenter de t’échapper
Mais c’est pas sur que tu puisses y arriverJe vais te torturer
Et une fois que je t’aurai trop entendu crier
Je t’achèverai à coups de pieds
Je ne sais pas ce qui me pousse à tuer
Peut être que je suis dérangé
Ou tout simplement que l’odeur du sang me fait bander
Quand je traîne ton corps au milieu des poubelles
Répandant sur le trottoir des morceaux de cervelle
Quand je brise un à un tous tes os
Quand je retire doucement tous tes boyaux
Tes cris d’agonie bercent la nuit d’une douce mélodie qui fait vibrer mon esprit
Et ces cris d’agonie, quand tu sens que ta vie se finit, c’est la symphonie de la nuit…
[Refrain]:
C'est une macabre symphonie
Qui vient rompre le silence de la nuit
Quand tes cris s'imprègnent dans mon esprit
Et forment une étrange polyphonie
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8. |
Les Morts Ne Parlent Pas
03:39
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LES MORTS NE PARLENT PAS :
[Refrain] :
Les morts ne parlent pas pourtant je les entends
Dans ma tête résonnent leur voix, leurs hurlements
Ils sont là, partout, je ne les vois pas mais je les sens
Les morts ne parlent pas pourtant je les entends
[Couplet 1] :
Ce matin en me réveillant, une putain de migraine m’a cloué au lit
Depuis déjà plusieurs nuits, des douleurs envahissent mon esprit
Devant ma glace je vois des ombres dans mon dos
Elles traversent ma salle de bain et disparaissent aussitôt
Je sens des présences, j’ai l’impression d’être observé
La lumière saute comme si elle venait de griller
Des silhouettes presque invisibles passent sous mes yeux
Je crois avoir des hallucinations, je deviens superstitieux
J’ai l’étrange impression de n’être pas seul chez moi,
Le soir j’entends des voix et des bruits de pas
Tout ça me fait flipper, de plus j’entends des bruits bizarres
S’échappant de mon frigo, de mes armoires ou de mes placards
J’entends des hurlements, comme quelqu’un en train de vomir
Ce ne sont pas mes rêves car de toute façon je ne peux plus dormir
[Refrain x2] :
Les morts ne parlent pas pourtant je les entends
Dans ma tête résonnent leur voix, leurs hurlements
Ils sont là, partout, je ne les vois pas mais je les sens
Les morts ne parlent pas pourtant je les entends
[Couplet 2] :
J’entends toutes sortes de sons étranges au fond de mes tympans
Ce sont des murmures, des voix, des cris, des hurlements
Je me dis souvent que tout est dans ma tête, mais non
Ils sont bien là, partout, à mon travail, dans ma maison
Je ne comprends pas la signification de leurs gémissements
J’essaie de leur parler mais ils ne me répondent que par d’autres gémissements
Leur présence me hante jour après jour, sans cesse,
Je deviens fou, parano, envahi par le stress
Je les sens, à chacun de mes pas je les entends
Ils me suivent partout, je ne leur dois rien pourtant
Toute ma maison est perturbée, c’est une sorte d’invasion
Parfois il y a même du sang qui sort de mes cloisons
Toutes ces âmes oubliées ont en eux une haine démesurée
Si elles viennent me chercher, je n’aurai plus la force de résister
Dans ma tête résonnent leur voix, leurs hurlements
Les morts ne parlent pas pourtant je les entends
[Refrain x2] :
Les morts ne parlent pas pourtant je les entends
Dans ma tête résonnent leur voix, leurs hurlements
Ils sont là, partout, je ne les vois pas mais je les sens
Les morts ne parlent pas pourtant je les entends
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9. |
Ennui Ou Divertissement
04:04
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ENNUI OU DIVERTISSEMENT :
[Couplet 1] :
Une heure…Deux heures…
Deux heures et 30 minutes, Deux heures et 31 minutes…
Je regarde ma montre, j’ai l’impression que le temps s’est arrêté,
Je scrute, les aiguilles, je les vois tourner, je me suis trompé
Le temps passe bel et bien, mais tout est d’une extrême lenteur
Les secondes sont devenues des minutes, les minutes des heures,
Le sablier de ma vie s’est brusquement rempli de béton,
Il ne peut plus couler, il est resté bloqué dans cette position
Les émissions de télé se succèdent, le film de ce soir est inintéressant,
Je n’arrive pas à trouver de moyen pour faire passer le temps
Je m’ennuie, je m’emmerde, je me fais chier,
J’ai essayé beaucoup de choses mais là je n’ai plus d’idée,
L’ennui est là, partout, il est comme une présence
Me rappelant à chaque instant le vide de mon existence
C’est encore pire lorsqu’il pleut ou qu’il neige, la pire des saisons c’est l’hiver,
Vautré dans mon canapé, je désespère car je n’ai rien à faire.
[Refrain x4] :
Si je tue des gens, c’est parce que je m’ennuie,
Ennui ou divertissement, j’ai déjà choisi.
[Couplet 2] :
L’homme est le seul être à posséder une capacité d’ennui,
Les animaux et les plantes ne s’ennuient pas, les Hommes si
De là un besoin urgent d’un divertissement,
Seule alternative, seule solution pour tuer le temps
Divertissement existentiel, divertissement esthétique
Le sang qui coule d’un corps c’est magnifique,
Lorsque je tue, mon ennui est immédiatement neutralisé,
Une fois que l’effet est dissipé, j’ai juste à recommencer,
J’ai à ma portée des gens qui se font aussi chier,
Ce serait bien idiot de ne pas en profiter
Je pourrai peut être trouver autre chose pour faire passer le temps,
Mais le plus beau des divertissements se fait par la mort et le sang.
[Refrain x4] :
Si je tue des gens, c’est parce que je m’ennuie,
Ennui ou divertissement, j’ai déjà choisi.
[Couplet 3] :
Les gens me prennent pour un monstre mais ils font erreur
Je suis un être humain comme les autres, c’est ce qui leur fait peur
La seule différence, c’est que moi je ne me cache pas,
Je ne me contente pas du bas de gamme, je vais au-delà,
Pourtant je suis sûr que tous ressentent la même chose que moi,
Que tous ont le même attrait pour la vision du sang sur leurs doigts,
Il n’y pas de distraction plus grande que celle de tuer,
Tous le savent, mais ils ne veulent pas se l’avouer
La vie est inutile et nous sommes devant son inutilité,
La seule alternative c’est l’ennui ou la cruauté
Notre grand malheur c’est de ne pas pouvoir rester assis à rien faire,
On s’ennuie, sans occupation la vie est pire que la mort, que l’enfer
Chacun s’occupe comme il peut, moi c’est en tuant,
Pour contrer l’ennui, le meurtre est mon divertissement
[Refrain x4] :
Si je tue des gens, c’est parce que je m’ennuie,
Ennui ou divertissement, j’ai déjà choisi.
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10. |
Brûle, Brûle Et Brûle
03:39
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BRÛLE, BRÛLE ET BRÛLE :
[Intro] :
*Bruit de feu*
Brûle…
[Refrain] :
Brûle, brûle et brûle
Brûle, brûle et brûle tout
*Rires*
[Couplet 1] :
Craque une allumette, allume ton briquet
Alimente la flamme, fais brûler ce qu’il te plait
C’est ce qui me passe par la tête quand je suis dans l’obscurité
L’envie de remettre autour de moi un peu de luminosité
Cocktail Molotov dans ton jardin, dans ta voiture ou ta maison
Je brûle tout sur mon chemin, avec motivation
On m’appelle émeutier, pyromane, terroriste ou sadique,
Mais je fais ça avant tout pour des raisons esthétiques
Les carcasses, les flammes, les cadavres encore chauds,
Je mets le feu autour de moi, car je trouve ça beau
[Refrain] :
Brûle, brûle et brûle
Brûle, brûle et brûle tout
(Pour toi c’est un crime,
Pour moi c’est de l’art)
[Couplet 2] :
Les gens me prennent souvent pour un détraqué mental
Mais je ne suis qu’un simple artiste expérimental
La vision du jaune et du rouge brillant dans la nuit
Me procure des émotions vives, une sensation de vie
Le contraste des couleurs, de la lumière et de l’obscurité,
La danse des flammes, dans laquelle je suis invité,
C’est un spectacle unique, d’une immense beauté
Tel un inquisiteur, je mets mes victimes au bûché
Je me délecte en regardant cet amas de corps calcinés
J’attends impatiemment que se dissipe la fumée
Je peux alors profiter de cette odeur de chair brûlée,
Je suis en extase, mes sens son rassasiés
Déjà un goût dans ma gorge me donne l’envie de recommencer !
[Refrain] :
(Pour toi c’est un crime,
Pour moi c’est de l’art)
Brûle, brûle et brûle
Brûle, brûle et brûle tout
Brûle…
*Bruit de feu*
[Outro] :
Ah…Ce que c’est beau…
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11. |
La Seule Solution
04:08
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LA SEULE SOLUTION :
[Refrain] :
La Terre est une prison
L’existence une faute sans rédemption
La vie un crime sans pardon
Le meurtre est la seule solution
[Couplet 1] :
Je suis arrivé à saturation
Je vois plus d’autre solution
Le meurtre s’annonce à moi comme une libération
La vie est une punition
Dans ce monde de désolation
Tous laissés à l’abandon
Nous errons comme de simples aberrations
Dans un monde voué à la démolition
Tous nous nous dirigeons
Vers un peloton d’exécution
Notre cerveau a subi trop d’ablations
Je ne peux plus faire abstraction
Mon sang est en ébullition
Paré pour l’éruption
Je ne suis plus maître de mes pulsions
Mes crimes ne sont qu’une démonstration
Tel un prêtre en pleine inquisition
Je déclare puis exécute la sanction
Je veux détruire cette civilisation
Préparez vous à l’explosion
Total annihilation pour vos corps en décomposition
Vos tripes sur le béton
Au milieu des merdes de pigeons
Pas de pardon
Pas de rédemption
Plus d’autre solution
La mort pour vous tous bandes de cons !!
[Refrain x4] :
La Terre est une prison
L’existence une faute sans rédemption
La vie un crime sans pardon
Le meurtre est la seule solution
[Couplet 2] :
Vous n’êtes qu’une bande de morpions
A grouiller par millions
Vous n’êtes pour moi qu’une contamination
Chacun de mes organes est envahit de votre poison
Comme la piqûre d’un scorpion
En nous tous coule le sang d’un démon
J’enchaîne scarification sur scarification
Pour évacuer ce démon de mon sang, de ma raison
Je n’ai envers toi aucune compassion
J’ai longtemps cherché une justification,
Mais il est inutile de se poser des questions
La nuit j’ai des visions
De meurtres, de viols, de mutilations
Je rêve que je suis en suspension
En dessous de moi ce monde qui brûle, qui fond
La vie n’est pas un don
Elle n’est que malédiction
Un jour nous naissons,
Le lendemain nous mourrons
J’attends la fin avec impatience et détermination
La fin dans l’ultime déflagration
La fin de nous tous, êtres sans fonction…
[Refrain x4] :
La Terre est une prison
L’existence une faute sans rédemption
La vie un crime sans pardon
Le meurtre est la seule solution
[Couplet 3] :
J’arrache le bâillon
Contrairement aux autres je ne suis pas un mouton
Quand je pense qu’une simple éjaculation
Peut engendrer la création d’un être aussi con
Mieux vaut détruire cet embryon
Le protéger d’une vie sans intérêt, ni inspiration
Une vie de merde dans un monde de cons
Un monde qui n’attend que sa destruction,
Son extermination et son épuration
Depuis le jour de ma première respiration
Je souhaite la mort pour tous sans distinction
A quoi bon, tant d’illusions ?
Pourquoi espérer joie et passion
Alors que la vie n’est que malheur, tristesse et dépression ?
Le mal est en nous tous, parfois caché très profond
Mais il resurgira toujours à un moment quoique nous fassions
Il n’y a rien à attendre de bon
Les sentiments humains sont si faibles face à la corruption
Il ne reste qu’une seule solution :
La mort pour tous sans exception…
[Refrain x4] :
La Terre est une prison
L’existence une faute sans rédemption
La vie un crime sans pardon
Le meurtre est la seule solution
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12. |
Paranoïa
03:30
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PARANOIA :
Ils savent tout, ils sont partout….
[Couplet 1] :
Ils savent tout de notre passé
Notre futur ils l’ont tracé,
Ils nous suivent depuis que nous sommes nés
Nous sommes fichés et classés
Nous sommes suivis toute la journée
Ils savent tout de nos activités
Ils savent tout de nos pensées
Jusqu’à nos moindres petits secrets
Ils savent tout ces enculés
On ne peut pas les désigner, ni les appeler
Personne ne sait qui ils sont en réalité
Pourtant ils existent c’est prouvé
Ils savent tout de notre personnalité
Tout est noté dans leurs fichiers
Ils nous contrôlent sans qu’on puisse s’en douter
Sans le savoir nous sommes surveillés
Chaque geste que nous faisons est filmé
Chaque mot que nous prononçons est enregistré
Chaque critique que nous faisons est sauvegardée
Sans le savoir toute notre vie est dirigée…
Ils savent tout...Ils sont partout…
I-Ils savent tout...Ils sont partout, partout
Ils savent tout...Ils sont partout
Ils savent tout...I-I-I-Ils sont partout
[Couplet 2] :
Ils savent tout par l’intermédiaire des flics et des politiques
C’est une organisation machiavélique
Elle dirige même le président de la République
C’est un groupe si puissant
Qu’il est bien au-dessus du gouvernement
Ils savent tout
Ils sont partout
Dans nos toilettes, nos serviettes
Dans nos têtes
Dans notre esprit, notre lit, notre chaîne hi-fi
Ils nous espionnent petit à petit
Et dirigent ensuite notre vie
Ils placent des micros dans chaque recoin de nos maisons, de nos appartements
Dans chaque petite couture de nos vêtements
Dans les objets que nous utilisons au quotidien
Dans les lieux publics, dans les transports en commun
Nous n’avons aucun choix
Le hasard n’existe pas
Chaque rencontre est prévue
Pour contrôler nos allées et venues
Ça je m’en suis vite aperçu
Au début je n’y ai pas cru, j’ai vite été déçu :
Ils existent vraiment
Depuis toujours on nous ment
On nous ment, on nous ment, on nous ment, on nous ment, on nous ment, on nous ment……….
PA - RA - NO - IA (x4)
[Couplet 3] :
Ils savent tout, Ils sont partout
Ils dirigent nos vies de bout en bout
Ils peuvent se cacher derrière notre boulanger ou notre poissonnier
Notre médecin ou nos voisins
Notre facteur ou notre sœur
Ils sont partout et nulle part
C’est trop tard
Ils se sont déjà imposés
Et ont le monde entier à leurs pieds
Ils ont des caméras partout comme Big Brother,
Alimentant un sentiment de paranoïa et de peur
Ils savent tout de nos conversations
Ils ont mis sur écoute les réseaux de communication
Ordinateurs, téléphones, courrier
Ils ont tout sous surveillance et contrôle détaillé
D’un simple clic ils peuvent nous localiser
Ils ont à leur disposition le matériel le plus avancé
Derrière leurs ordinateurs ils peuvent nous trouver n’importe où
Grâce à leurs satellites ils ont un œil sur tout
Il n’y a nulle part où fuir ils sont partout
Ils exercent sur le monde une totale domination
En une seconde ils peuvent nous faire disparaître de la circulation
Chaque trace de notre passage sur Terre effacée
Plus de carte de crédit, plus de compte en banque, plus de papiers
Plus d’amis, plus de famille, plus d’identité
Effacé des mémoires, condamné à errer
Un fantôme, un courant d’air, sans futur ni passé
Ils savent tout, ils sont partout et agissent selon leur volonté
Nous ne pouvons pas y remédier
Depuis que nous sommes nés
Ils sont là pour nous contrôler…
PA - RA - NO - IA (x6)
Ils savent tout...Ils sont partout…
I-Ils savent tout...Ils sont partout, partout
Ils savent tout...Ils sont partout
Ils savent tout...I-I-I-Ils sont partout
Ils savent tout…Ils sont partout
Ils savent tout…Ils sont partout
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13. |
Je Vous Encule Tous
05:14
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JE VOUS ENCULE TOUS :
[Intro x4] :
Je vous encule tous !
[Couplet 1] :
Je vous encule tous, tous autant que vous êtes
Je vous encule tous, vous me prenez la tête
J’emmerde mes voisins, ils me cassent le cul
Cette famille de cons qui se tapent dessus
Avec leur fille horrible qui ressemble plus à un mec qu’à autre chose
Et qui picole tellement qu’à trente ans elle crèvera d’une cirrhose
J’encule ma ville qu’est remplie de bouffons et de fils de chiens
Les seuls gens bien dedans se comptent sur les doigts d’une seule main
Elle est tellement pourrie cette putain de ville
Que quand je m’y ballade je sens remonter ma bile
Je vous gerbe tous dessus à m’en vider les intestins
Je vous encule tous, tous un par un
En particulier ce con qui a un poil de cul sur la langue et qui zozote
Il se prend pour un chaud mais il pue la merde, ce con je l’encule à sec et sans capote
J’emmerde aussi les flics obèses de ma municipalité
Qui le cul posé sur une chaise enchaînent toute la journée café sur café
Ils feraient mieux de se bouger et d’aller voir dans la proche campagne
Pour virer et flinguer tous ces putains de squatteurs en caravanes
Je me rends compte que je n’aime pas grand monde, je devrais peut être voire un psy
Mais je finirai peut être par le butter si je l’écoute déballer ses conneries
Non je crois tout simplement que cette planète me fait chier
Et vous tous, bandes de cons, je ne peux plus vous supporter
[Refrain x4] :
Je vous encule tous !
(Merde à vous tous…)
Je vous encule tous !
(Allez vous faire foutre)
[Couplet 2] :
J’emmerde l’Eglise, les prêtres, la Bible, la religion
Je ne suis pas baptisé, je ne prie jamais, je ne suis pas ce genre de troufion
Pourquoi devrais-je croire en Dieu alors qu’il n’a jamais existé ?
Si c’est vraiment lui qui a créé la Terre, et bien il ne s’est pas fait chier
Je n’aime pas trop cette planète et les gens qui y vivent
Depuis que je suis né je suis envahi de pensées négatives
Je déteste les cons et malheureusement il n’y a que ça
Et j’ai beau faire pour essayer de les supporter je n’y arrive pas
J’emmerde les hommes politiques et leurs ridicules idées
Quand ils baratinent sur des projets fictifs pour aider la société
En réalité ils ne pensent qu’à s’en foutre plein les poches
Ce sont des faux-culs, menteurs, hypocrites et en plus ils sont moches
J’encule les médias et les journalistes qui nous prennent pour des cons
Qui balancent leur propagande comme on balance du pain aux pigeons
Leur seule préoccupation c’est la part d’audimat qu’ils vont faire au journal du soir
Et pour ça ils sont prêts à tout, même à racler la merde sur le trottoir
J’encule les stars, les footballeurs qui sont bourrés de pognon
Ils sont payés des millions pour courir comme des cons après un ballon
On les voit partout, à la télé, dans toutes les pubs l’Oréal
Comme si ils n’étaient pas assez payés comme ça, ces trous de balle
Putain de merde cette planète commence vraiment à me faire chier
Je vois que des cons partout, je ne peux plus rien supporter
[Refrain x4] :
Je vous encule tous !
(Merde à vous tous…)
Je vous encule tous !
(Allez vous faire foutre)
[Couplet 3] :
J’encule les chanteurs de Rn’B et les vieux rappeurs commerciaux
Au lieu de sortir des disques pourris, ils feraient mieux de s’acheter un cerveau
Ils me font tellement pitié que je devrais leur consacrer un Téléthon
Mais ils sont tellement bidons que personne ne voudra faire de don
J’emmerde les radios qui nous bombardent toujours les mêmes nullités
Quand j’écoute Skyrock, Ado et les autres, j’ai envie de me flinguer
J’encule les clochards qui pourrissent mon champ de vision
J’encule les riches qui veulent égoïstement toujours plus de pognon
J’encule donc l’argent, qui m’oblige à faire cette distinction
Comment un bout de ferraille peut-il engendrer tant de divisions ?
J’emmerde les putes qui traînent sur les trottoirs de Saint Denis
Payer pour baiser un nid à MST, jamais de la vie
J’encule les bonnes sœurs qui ont fait vœu de chasteté
J’ai envie de surgir dans leur église pour les violer
Ce serait bête qu’elles meurent sans jamais avoir joui,
Je vais leur montrer ce que c’est que le vrai paradis
J’encule aussi toutes celles qui m’ont envoyé chier
J’emmerde les films romantiques qui m’ont traumatisés
Quand on me parlait de violence à la télé
C’était plus aux films d’amour qu’aux films d’horreur que je pensais
J’encule tous ces cons que dans la rue je dois côtoyer
Toute cette vermine dont notre Terre est infestée
En fin de compte cette planète me fait plus que chier
J’en ai marre de tout, je ne peux plus rien supporter
[Refrain x4] :
Je vous encule tous !
(Merde à vous tous…)
Je vous encule tous !
(Allez vous faire foutre)
[Outro x14] :
Je vous encule tous !
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14. |
Folie Part. 2
04:46
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FOLIE (PART. 2) :
[Intro] :
Folie…Folie…Folie…Folie…
[Couplet 1] :
J’ai sommeil mais je ne dors pas,
J’ai comme un nœud dans l’estomac,
Je me sens mal, j’ai envie de vomir,
Des vertiges m’empêchent de dormir
Je tourne et retourne sans cesse dans mon lit,
Cherchant une position pour entamer ma nuit
J’ai dans la tête de multiples pensées sans rapport,
Des souvenirs inutiles qui me hantent encore
Est-ce le stress qui trouble mon repos,
Ou bien les images qui se forment dans mon cerveau ?
Ces visions dont mes rêves sont peuplés,
Ces flashs qui apparaissent quand mes yeux sont fermés
Je suis choqué par ces déluges de sang
J’ai peur de m’endormir donc j’attends,
Je me force, je ne veux pas me laisser aller
J’ai surtout peur de finir par apprécier
J’ai essayé toutes sortes de médicaments,
J’ai essayé les somnifères les plus puissants
Chaque fois pourtant c’est le même scénario,
Les morts et le sang apparaissent de nouveau,
Les cauchemars me dissuadent de recommencer,
Je n’ose même plus songer à aller me coucher,
Le lendemain je suis hors de la réalité,
Pensant à réaliser ce dont j’ai rêvé
[Refrain x8] :
Folie…
(- Tu as, tu as, tu as un problème psychologique.
- Mais non…
- Si !)
[Couplet 2] :
Le spectacle à l’état pur c’est le drame du sang,
Le voir couler et se répandre est pour moi l’ultime divertissement
Quand j’en aurai assez de faire couler et de boire le tien,
Par mutilation ou par suicide je me délecterai du mien
Si j’étais un peintre, mon medium serait le sang,
Je traduirais sur toile mes sentiments les plus violents
Réalisant les plus belles traductions de l’enfer,
Je les exposerai avec joie dans un cimetière
Buvant de la javel je vomirais sur mes pinceaux
Car c’est avec mon sang que je ferais les plus beaux tableaux
Pour nourrir mes inspirations je tuerais des gens,
Leurs cadavres éveilleraient mes sentiments
En fait je ne suis pas si loin de cette vérité,
Il me manque juste du talent et un atelier,
En ce qui concerne ma passion pour le sang,
Je l’assume et la revendique pleinement
Ce nectar de vie qui coule dans nos veines,
Que je laisse couler quand j’évacue ma peine,
M’hypnotise, me met en appétit
Excitant mes entrailles d’une douce folie
[Refrain x8] :
Folie…
(- Tu as, tu as, tu as un problème psychologique.
- Mais non…
- Si !)
[Couplet 3] :
Je vous encule tous autant que vous êtes
Je vous encule tous, vous me prenez la tête
Je hais les gens et ils me le rendent bien,
En même temps je m’en tape, ça ne me fait rien
Je n’ai pas besoin de contact humain
Ca ne ferait qu’empirer mon malaise quotidien
Voir tous ces cons qui s’empilent dans des trains,
Ca me fait rire et pitié, c’est tellement vain
Agoraphobe, misanthrope ou vieux con,
Appelle moi comme tu veux, tout me correspond
Vous déambulez tous dans vos petites vies
Vous travaillez pour un con dans un bureau pourri
Vous êtes insignifiants, inexistants
Je ne vaux pas mieux mais j’en suis conscient
C’est ce qui me différencie de la masse,
Qui justifie que je n’ai pas ma place
Ils tentent de fuir, de se voiler la face,
Ils attendent impuissants que le temps passe
Ils veulent oublier qu’un jour ils seront morts,
Je le leur rappelle quand je leur plante le corps
Leur existence est vide de substance
Moi c’est en tuant que je lui donne un sens,
Leur existence est vide de substance
Moi c’est en les tuant que je lui donne un sens !
[Refrain x8] :
Folie…
(- Tu as, tu as, tu as un problème psychologique.
- Mais non…
- Si !)
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15. |
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CRIE PLUS FORT, DEBATS-TOI (feat. Rom-G) :
[Refrain] :
(Rom-G) :
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Le plaisir n’en sera que plus grand
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Mais tu sais personne ne t’entend
(Exdeath) :
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Le plaisir n’en sera que plus grand
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Mais tu sais personne ne t’entend
[Couplet 1] : (Shampignon)
Le soir j’erre dans la pénombre,
C’est une habitude pour moi
Je me faufile comme une ombre,
A la recherche d’une proie
Grillant clopes sur clopes dans ton jardin,
Je t’observe dans ta salle de bain
A la première occasion je force ta fenêtre,
Déverrouille ta porte et enfin pénètre,
Je monte lentement ton escalier,
Je t’agresse pour enfin te violer
Attachée et bâillonnée sur ton lit tu pleurs
Je vais profiter de toi pendant des heures
Je veux voir tes yeux d’anges m’implorer
Je veux t’entendre couiner
Si je peux deux ou trois fois te taillader
Le plaisir n’en sera que décuplé
Parfois il m’arrive de m’occuper d’une inconnue,
Seule, la nuit, perdue dans la rue,
Il y a un charme à la violer par terre,
Au son de l’eau qui coule des gouttières
Quand j’ai fini je l’éclate sur le sol
Je n’ai aucune pitié lorsque je viole,
Je suis un taré aux fantasmes morbides
Mais il faut bien aussi que je me vide
[Refrain x2] :
(Exdeath) :
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Le plaisir n’en sera que plus grand
Sale pute crie plus fort, débats-toi,
Mais tu sais personne ne t’entend
(Rom-G) :
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Le plaisir n’en sera que plus grand
Sale pute crie plus fort, débats-toi,
Mais tu sais personne ne t’entend
[Couplet 2] : (Rom-G)
Nuit sombre, vent glacial,
Quartier mal famé, immeuble morbide,
Cage d’escalier infecte, 3e étage salubre,
Voila le décor idéal pour un crime lugubre
Ma victime une belle blonde au cœur de déesse,
Faisant réveiller le violeur qui sommeille en moi
Mon attaque est fatale, je passe à l’action,
Elle est ma proie,
Je déchire ses vêtements et m’introduit en elle
Le plaisir est total, je finis le travail,
J’attrape le coussin et l’étouffe,
Je laisse son corps sans vie allongée sur le lit,
J’efface les empreintes et quitte cet appart’ puant le mort,
Un crime sauvage, comme la personne que je suis,
Sans cœur, sans âme,
Rom-G le psychopathe, malade mental,
Affamé, tel un cannibale
[Refrain x2] :
(Rom-G) :
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Le plaisir n’en sera que plus grand
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Mais tu sais personne ne t’entend
(Exdeath) :
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Le plaisir n’en sera que plus grand
Sale pute, crie plus fort, débats-toi,
Mais tu sais personne ne t’entend
[Couplet 3] : (Exdeath)
Sale pute tu peux crier,
Il n’y a personne ici pour t’aider,
Tu es à moi, tu es ma proie,
Une chose soumise à mes lois,
Tu me regardais avec ton air de nanti
Les filles comme toi m’inspirent le mépris
Tu es belle, mais tu en fais trop,
Cette provocation stimule mon couteau
Je viole en partie parce que j’aime ça
Les sensations que ça provoque en moi
Mais je le fais aussi pour me venger,
De toutes ces femmes qui m’envoient chier
Il y en a qui s’amusent à m’humilier
D’autres font semblant de s’intéresser,
La plupart me disent que je suis laid,
Certaines me traitent en objet
Je suis complexé, frustré et repoussé,
C’est normal que je finisse par exploser
Toutes celles que je ne pourrai charmer,
C’est ainsi que je les prends contre leur gré
Par le viole disparaît ma frustration,
Par la violence j’évacue mes tensions,
Par la force j’arrive à mes fins,
Avec ces chiennes, c’est le seul moyen
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16. |
Je Vais Mal
02:37
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17. |
Dernière Nuit Sur Terre
04:14
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DERNIERE NUIT SUR TERRE :
[Refrain x2] :
Ce soir je vais en finir
C’est décidé je veux mourir
J’en ai marre de ma vie
Je préfère le suicide à ce monde pourri
Depuis trop longtemps j’hésite
Je dois en finir et vite
Je prends une dernière bouffée d’air
Pour ma dernière nuit sur Terre
[Couplet 1] :
Je vous hais, je me hais
Plus rien n’a d’intérêt
J’ai décidé d’en finir,
A l’aube je ne serai plus qu’un souvenir
J’ai le cœur en morceaux
La haine brûle mes os
Le soir quand je m’endors
Je pense à la Mort
J’aimerais qu’elle soit là
Et qu’elle m’emporte dans ses bras
J’ai perdu goût à la vie
Je hais ce monde pourri
Le mot « bonheur » n’a pour moi plus aucune signification
Le suicide s’annonce à moi comme une libération
Je ne vois plus grand-chose à faire
J’ai dans la bouche un goût amer
La vie n’a aucun sens
On souffre en silence
On n’a rien à dire
On doit seulement subir
On ne doit jamais protester
Il n’y a personne pour nous aider,
Personne pour nous écouter
Je ne vois pas d’avenir pour l’humanité
Mieux vaut vite en finir
Pour ne plus souffrir
Je prends une dernière bouffée d’air
Pour ma dernière nuit sur Terre
[Refrain x2] :
Ce soir je vais en finir
C’est décidé je veux mourir
J’en ai marre de ma vie
Je préfère le suicide à ce monde pourri
Depuis trop longtemps j’hésite
Je dois en finir et vite
Je prends une dernière bouffée d’air
Pour ma dernière nuit sur Terre
[Couplet 2] :
La mort est l’étape la plus importante de l’existence
C’est une récompense pour avoir supporté toute cette souffrance
La vie est un jeu, rien de plus
Celui qui craque le premier a perdu
Ainsi je ne sortirai pas premier
Mais je serai loin d’être le dernier
Je vis ma naissance comme un traumatisme
Je suis rempli d’un profond pessimisme
Mais quand je vois ce monde s’étaler sous mes yeux
Je ne vois pas pourquoi je serais joyeux
Quand je vois la situation qui jour après jour empire
Je me dis qu’il n’y a pas de quoi se réjouir
Comment pourrais-je être positif
Alors que tout en ce monde est négatif ?
Comment pourrais-je avoir une vie saine
Alors que cette planète n’est gouvernée que par la haine ?
Tant que les hommes vivront
Il n’y aura jamais rien de bon
Tant qu’ils auront argent et pouvoir
Ils se tairont et feront semblant de ne rien voir
A quoi bon persister ?
A quoi bon espérer ?
Mieux vaut se suicider
Pour enfin connaître paix et sérénité
Je regarde une dernière fois le monde d’un œil sévère
Je prends une dernière bouffée d’air
Pour ma dernière nuit sur Terre
[Refrain x2] :
Ce soir je vais en finir
C’est décidé je veux mourir
J’en ai marre de ma vie
Je préfère le suicide à ce monde pourri
Depuis trop longtemps j’hésite
Je dois en finir et vite
Je prends une dernière bouffée d’air
Pour ma dernière nuit sur Terre
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18. |
Suicide
07:36
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SUICIDE :
[Refrain x2] :
Suicide ! La seule façon de résoudre tous mes problèmes
Suicide ! J’emmerde ce monde pourri, je préfère crever
Suicide ! De toute façon je n’ai pas peur de mourir
Suicide ! Dis-moi, à qui je pourrais bien manquer ?
[Couplet 1] :
Ce soir je vais en finir,
C’est décidé je veux mourir,
J’en ai plus que marre de ma vie,
Je préfère le suicide à ce monde pourri
Depuis déjà trop longtemps j’hésite,
Je dois en finir et vite
C’est si dur de vivre,
Et pourtant si facile de mourir,
Je pourrais m’ouvrir les veines avec un stylo plume,
Ou alors m’allonger sur la route et attendre sur le bitume
Avec de la chance ce sera un camion qui m’écrasera,
Au pire je crèverai de faim et je finirai bouffé par les rats
Une simple corde pourrait bien sûr suffire,
Simplement me pendre pour arrêter de souffrir
Déception, dépression, haine, peine et paranoïa,
Tout ce mélange dans ma tête, je n’aime pas ça
Drogues et thérapies n’ont plus aucun effet sur moi,
Une bonne balle dans la tête, c’est tout ce que je vois
J’emmerde ce monde pourri, il n’a rien de bon,
Tout ce qu’on peut espérer de bien, c’est la mort et la destruction
Je n’ai confiance en personne, même pas en moi-même,
Je n’aime personne car personne ne m’aime
On ne peut plus avoir confiance,
L’existence n’est que souffrance et déchéance,
Le suicide est la délivrance,
Je suis en conflit en permanence avec ma conscience,
Toute résistance est sotte, inutile est l’espérance,
Avec un poignard, une corde ou en m’enduisant d’essence,
Je vais me suicider en toute innocence
[Refrain x2] :
Suicide ! La seule façon de résoudre tous mes problèmes
Suicide ! J’emmerde ce monde pourri, je préfère crever
Suicide ! De toute façon je n’ai pas peur de mourir
Suicide ! Dis-moi, à qui je pourrais bien manquer ?
[Couplet 2] :
Pourquoi ma vie est-elle si désastreuse?
Quoi qu'on en dise, là c'est ma tombe que je creuse
J'ai perdu goût à la vie
Je me demande ce que je fous ici
Toutes ces douleurs qui tournent dans ma tête
En moi, je cris je hurle pour que ça s’arrête
Mais mes cris sont eux-mêmes étouffés par ma tristesse incessante
Mon esprit est torturé, traumatisé par tous ces sentiments qui me hantent
La nuit je ne dors plus car quand je ferme les yeux je ne vois que feu et sang,
Je ne mange plus car tout a le goût de ma frustration, de mon amertume, même mes aliments
Tout ce qui m'entoure me déçoit
Que ça soit les autres ou même moi
Je n’ai rien à attendre de bon, même pas l’espoir d’une vie meilleure,
Rien de bon, j’ai juste envie de me poignarder le coeur
Ma vie sentimentale se résume à des séries de déceptions,
Je fini par trouver seulement la mort comme solution.
Tout ça ce n’est que les préliminaires
Avant d'atteindre les six pieds sous terre
Certains s'entaillent les veines
Pour étouffer cette violente haine
Mais même une lame soigneusement aiguisée
Peut-elle empêcher mon âme de saigner ?
J’ai touché le fond, il ne me reste plus qu’à creuser,
Je travaille donc cette terre stérile qu’est mon existence délaissée,
Ma seule ambition dans la vie, c’est mourir,
Par tous les moyens je vais y parvenir,
Ce cachet de médicament qui traîne sur mon bureau,
Sera le témoin de ma fin, sera mon bourreau
Ces quelques mots raisonnent sans cesse dans ma tête : meurtre, homicide, suicide
Je pourrais m’ouvrir le bide car de toute façon je ne suis rempli que de vide.
[Refrain x2] :
Suicide ! La seule façon de résoudre tous mes problèmes
Suicide ! J’emmerde ce monde pourri, je préfère crever
Suicide ! De toute façon je n’ai pas peur de mourir
Suicide ! Dis-moi, à qui je pourrais bien manquer ?
[Couplet 3] :
Parfois je me dis que je ferais mieux de n’aimer que moi,
Mais même ça je n’y arrive pas
Ce monde a envahit chacune de mes veines
D’un poison, mélange de haine et de peine
Je suis terriblement triste, mais mes yeux ne parviennent pas à pleurer
Je suis tellement désespéré que même mes émotions n’arrivent plus à s’exprimer
Seules ces marques de coupures sur mes avant-bras trahissent mon désespoir,
Ces marques de scarifications, car la douleur est devenu mon unique exutoire
Lorsque je vois mon sang s’écouler lentement sur les rebords de la baignoire
J’ai l’impression d’exister vraiment, mais en même temps je ne suis pas sûr d’y croire
Mes rêves d’enfants ont tous tourné au cauchemar
Mais j’espère bien me réveiller à l’aide de ce poignard
Je n’ai rien à perdre, à part peut être la vie
Chose si insignifiante comparée à toute la merde qui règne ici
Mourir est devenu mon unique désir, ma dernière volonté
Tout espoir d’une vie heureuse et normale m’a abandonné
Mourir, mourir, mourir, la dernière chose sur Terre qui me motive encore
Car si je n’ai pas connu la paix dans la vie, peut être la connaîtrais-je dans la mort…
[Refrain x2] :
Suicide ! La seule façon de résoudre tous mes problèmes
Suicide ! J’emmerde ce monde pourri, je préfère crever
Suicide ! De toute façon je n’ai pas peur de mourir
Suicide ! Dis-moi, à qui je pourrais bien manquer ?
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